Clins d’œil amusants, références culturelles, faits uniques, les attractions de Disneyland Paris regorgent de secrets. En voici quelques-uns sélectionnés pour vous !
L’ivresse des grands espaces
Saviez-vous qu’il existe quatre versions différentes de Big Thunder Mountain dans les différents parcs Disney, mais celle de Disneyland Paris est unique à plus d’un titre : c’est notamment la seule à être située sur une île, accessible par des tunnels sous-marins. C’est aussi l’une des attractions les plus vastes du parc, couvrant près de deux hectares, sur deux rives de Rivers of America !
Fantômes sans frontières
La particularité des attractions de type « Haunted Mansion » des Parcs Disney tient au fait qu’aucune d’entre elles ne se situe dans le même Land. Si Phantom Manor est l’une des icônes de Frontierland à Disneyland Paris, les autres versions se trouvent à New Orleans Square (Disneyland Resort), Liberty Square (Walt Disney World Resort) et même à Fantasyland (Tokyo Disneyland), où les fantômes appartiennent au monde des contes de fées. A Hong Kong Disneyland, un land complet appelé Mystic Point a même été imaginé autour de Mystic Manor, une version inédite de la Haunted Mansion.
Jusqu’au bout du monde…
L’attraction Pirates of the Caribbean existe dans la plupart des Parcs Disney, mais saviez-vous qu’il existe des liens entre ces différentes versions ? Ainsi, la scène de la prison, avec le chien, est directement inspirée de celle imaginée pour la version originale de Disneyland Resort. Mais comme le chien semble ne pas réagir, à Shanghai Disneyland, on retrouve la même scène, sauf que les pirates sont devenus des squelettes à force d’attendre en vain après lui !
De Fantasyland aux Highlands
Si Peter Pan’s Flight est un vibrant hommage au Classique de Walt Disney, on y trouve également des références à l’auteur de l’histoire originale, Sir James Matthew Barrie. C’est ainsi que, dans la file d’attente extérieure, on peut découvrir un petit portail portant la mention « Kirriemuir », le nom de la ville natale de l’écrivain, située en Ecosse.
De braves petits tailleurs
L’attraction « it’s a small world » compte pas moins de 281 costumes distincts, confectionnés par les petites mains du département Costuming de Disneyland Paris. Chacun d’entre eux est le fruit de recherches intensives impliquant la lecture de centaines de livres et magazines sur les costumes folkloriques et ethniques, des visites de musées et la présence à des festivals sur les cultures du monde.
Vitesse-lumière !
Ouvert en 2017, Star Tours : L’Aventure Continue renferme plusieurs clins d’œil à sa version originale de 1992. On retrouve ainsi dans la file d’attente le droïde RX-24, plus connu sous le nom de Rex, qui pilotait à l’époque le Starspeeder 3000, ainsi que ROX-N, qui était l’hôtesse d’accueil de l’Astroport.
Une attraction qui détone !
HyperSpace Mountain à Disneyland Paris est la seule version de cette attraction à bénéficier d’un lancement depuis un canon. Celui-ci lui vient de son inspiration originale, le roman De la terre à la lune de Jules Verne. A l’origine, le départ s’effectuait depuis l’intérieur du canon, mais en 2005, l’attraction fut recalibrée, permettant aux lancements de partir de la base du canon, pour un voyage encore plus loin dans l’univers !
En immersion
Crush’s Coaster donne l’impression aux visiteurs d’être totalement « immergés » tout en restant parfaitement secs. Pour donner cette illusion, les Imagineers ont fait appel à des peintures ultra-violettes spécialement conçues pour l’occasion ainsi que d’autres technologies uniques permettant de simuler avec réalisme les bulles et reflets subaquatiques en tous genres.
« Surprenez moi ! »
Ratatouille : l’Aventure totalement Toquée de Rémy est la première attraction dans un Parc Disney à bénéficier d’un système de déplacement sans rail. Chaque « ratmobile » est indépendante et offre un parcours légèrement différent des autres. Des ordinateurs contrôlent la trajectoire de chaque rat qui peut avancer, reculer, se déplacer en crabe mais aussi s’incliner et tourner sur lui-même, de sorte que les visiteurs peuvent ressentir toutes les sensations de cette folle course-poursuite à travers le restaurant de Gusteau.
Allusions en série
The Twilight Zone Tower of Terror – Une Nouvelle Dimension de Frissons s’inspire de la célèbre série télévisée La Quatrième Dimension, lancée en 1959. On y retrouve ainsi de nombreux accessoires évoquant ce programme, dont certains choisis avec malice par les Imagineers. Ainsi, dans la bibliothèque, une paire de lunettes brisée renvoie à l’épisode « Question de temps », où un féru de lecture se voyait privé de sa passion après avoir malencontreusement marché sur ses lunettes. Et au niveau de la vitrine « Modern Wonders » (au-dessus de laquelle apparaissent les photos prises durant l’aventure) se trouve un appareil photo en tout point semblable à celui de l’épisode « Futurographe », qui prenait des photos du futur…